La charge mentale et le piège des fêtes
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Il y a les films, les livres, les jouets, les repas, les vêtements, les boissons, les chansons, les traditions et les codes sociaux qui rythment cette fin d’année. Quitte à verser dans le trop sucré et à faire de l’hyperglycémie avec cette flambée de comédies romantiques socialement acceptées !
Sans aucun doute, à cette période dans le monde occidental, la pression sociale au bonheur arrive à son paroxysme.
Croyant ou pas, en famille ou pas, avec neige ou sans neige, riche ou pauvre, la féérie est une injonction à laquelle il faut se plier.
Les parents négocient tout avec « papa noël ne va pas aimer ça », les enfants attendent, les listes se préparent.
Mais est-ce tout ce qui se passe durant cette période ?
Nous cassons les mythes avec délectation comme d’habitude sur The helpr, et les fêtes de famille en fin d’année n’y échappent pas !
Les vacances scolaires sont déjà barrées, les déplacements entre régions en voiture ou en train (en grève ?) rythment le mois de décembre. Qui va dormir chez qui ? Quel repas avant qui pour le 24 ou le 25 ?
Déminer les situations à risque, les disputes, les maladresses et les jugements hâtifs sont anticipés aussi. Jusqu’à crouler sous la pression.
Normal, ce phénomène psychologique s’explique par le peu de temps consacré à la famille dans le sens large dans nos modes de vie. Nous essayons alors de nous rattraper.
L’aspect « sacré » consacré à cette période peut s’expliquer par l’un des rares rituels encore existants dans la vie post moderne des familles.
Un creuset des inégalités salariales, de disponibilités et de capital culturel :
Pourtant, cette version idyllique des fêtes de fin d’année cache une forêt bien fournie.
Les évaluations au travail, les bilans de performance potentiellement décevant, la frustration de ne pas avoir fait et encore moins être comme on le souhaitait.
La cocotte-minute des fêtes de fin d’année, c’est aussi le pic d’arrivée aux urgences quand la fatigue, les disputes, les inattentions se multiplient.
La bulle de cette période n’a explosé que récemment avec la période de la pandémie.
Distance, annulation des voyages, tests à gogo… les rituels sociaux ont été bouleversés et n’ont jamais été autant « manqués ».
Pourtant, des études ont montré leur importance :
Une étude a souligné les effets bénéfiques des visites de clown pendant les fêtes aux services pédiatriques. Bien être psychologique et récupération ont été constatés auprès des patients.
Faut-il sacrifier votre équilibre pour une période plus intense sur tous les fronts ?
Vu les retours des parents utilisateurs de The helpr, nous vous proposons plutôt de l’alléger pour « survivre » à cette période. Sans exagération, la pression autour des séminaires, compétition sociale, reprendre vos priorités n’est pas un luxe !
Faites le point sur vos valeurs, vos émotions, vos ressentis, sur ce qui compte le plus pour vous, individuellement et ensuite en famille.
Cette période peut créer une dissonance pour certains d’entre nous qui ont à aller à l’hôpital comme aidant ou comme patient, ou d’autres qui galèrent avec leur fertilité ou encore avec leur employabilité.
Comment faire bonne figure quand tout le monde autour impose le grand sourire ? et qu’on a l’impression d’échouer en tant que parent à ne pas être aussi joyeux qu’attendu ?
Appuyez sur pause.
C’est aussi le tabou ultime de cette période.
Aussi bizarre que cela puisse paraître après cette démonstration, que vous travaillez ou non, les autres interlocuteurs seront plus déconnectés à partir du 20 décembre.
Comme pendant le mois d’août, c’est la période parfaite pour vous recentrer.
Oui, il faut bien voir le verre à moitié rempli.
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Car le e soutien mental n’a pas de prix pendant cette période.
The Helpr, bien au-delà du travail, la performance durable.
Repenser la qualité de vie au travail face aux nouveaux enjeux du management.